Et voilà, la quatorzième édition du camp du Genève Volley est lancée…comme les 2 années précédentes à Henry-Dunant.

La faute à ce vilain COVID-19 qui faisait encore tant parler de lui il y a quelques mois, moment où nous devions entériner nos choix. Et c’est un grand plaisir de retrouver tout le monde, même pour celles dont c’est la première participation, dans notre bonne vieille salle. On va oser le dire, car cela fera 40 ans l’an prochain que le Genève Volley occupe la salle de sport de l’ECG Henry-Dunant, soit depuis son inauguration !

Cette année, elles seront 60 participantes prenant part aux réjouissances. C’est un record – et aussi le plafond que nous nous étions fixés.

Comme les 2 dernières années, une matinée de beachvolley occupera une demi-journée pour chaque groupe au Parc des Franchises, ce qui est un grand soulagement pour votre serviteur, surtout quand un intrus vient se joindre au groupe par inadvertance (fallait pas te tromper de groupe, Nina).

Et comme il y a deux ans, l’activités hors-murs sera du stand-up paddle, mais cette année, cela aura lieu sur les bords de la plage de la Savonnière à Collonge-Bellerive.

Denis et son équipage. Oh hissé haut… 😉

Mais à peine le temps de parler des vacances, de faire de grandes retrouvailles, que voici nos joueuses lancées dans le bain par Denis et le premier échauffement matinal. Tout de suite, on va voir qui a fait du sport cet été – et qui s’est prélassé au bord de la plage. Ben… en fait… on ne voit rien. Tout le monde s’est prélassé. Humm… ça va de nouveau être une semaine difficile.

Les thèmes du jour sont du le retour au ballon et les fondamentaux des gestes techniques. Oui, on sait – aux béotiens c’est du javanais supérieur. Tout simplement, c’est rappeler à ces soit-disant sportives ce que sont les gestes de base du volleyball.

Car si les vacances paraissent courtes (à tout le monde…), il semble toutefois qu’elles suffisent amplement pour perdre toute mémoire des travaux de l’an dernier. Mais bon – en ce lundi plus frais que ces derniers jours (ouf, heureusement), nous avons avec nous Jody Larson de la première équipe, qui nous démontre aussi pourquoi c’est elle la pro et pas nous. Sous son excellente impulsion et avec ses bons conseils, on progresse, on progresse. Bien entendu cela n’occulte pas le travail des autres encadrants, tous au taquet pour proposer des activités variées et dynamiques.

– ça doit aller par là, Amélia !
– ah, t’es sûre, Jody ??

La journée se termine par un retour au calme façon Marco, qui n’a pas que des idées de psychomotricité dans la tête – évidemment, à force de l’enseigner toute l’année… Chacune trouvera une camarade à détendre et se fera détendre à son tour, avant de fermer la boutique jusqu’à demain.

Lilly s’occupe de Lena…