Et c’est bien connu, le jeudi, c’est macaroni. Ah non pardon. C’est la journée des parents ! Mais oui, ça sent la faim à plein nez. Mais noooon, la fin ! OK… bref, les deux.
C’est souvent le jour où l’on voit un regain d’énergie. Le rythme commence à être pris et les organismes supportent mieux la répétition des efforts. Heuresement, d’ailleurs, ça permet de supporter la présence des parents et surtout, de leur mettre une rouste sur le terrain. Sauf à Pascal, bien sûr, ancien très bon joueur et dont la taille reste… avantageuse !
En tous les cas, les thèmes se poursuivent et permettent à nos futures vedettes de travailler tous les aspects de leur sport favori. Il convient de relever ici que l’auteur des thèmes a eu la plume leste dans les titres. « Joue la comme Florien » (exercice de défenses en hommage à notre libéro internationale néerlandaise, qui a d’ailleurs joué aux JO à Paris !), « Long distance call » (exercices sur les grandes longueurs du terrain), etc.
Tiens au fait – petit quizz pour vous : quelle est la plus grande longueur possible sur laquelle on devrait pouvoir envoyer la balle de volley en restant dans le terrain ? Comme je suis nul en match – euh… non, en math, j’ai demandé à Chat GPT. Le collège est looooin dans les souvenirs, mais l’AI n’en a cure.
Voici sa réponse : La distance maximale sur laquelle on peut envoyer une balle dans un terrain de volleyball en salle, tout en restant à l’intérieur du terrain et en faisant atterrir la balle également à l’intérieur du terrain, dépend des dimensions du terrain. Le terrain de volleyball en salle mesure 18 mètres de long sur 9 de large. La distance la plus longue entre deux points dans un rectangle se trouve en diagonale. Pour un terrain de 18 mètres de long et 9 mètres de large, la distance diagonale se calcule en utilisant le théorème de Pythagore : La plus longue distance sur laquelle on peut envoyer une balle tout en restant dans le terrain et en la faisant atterrir dans le terrain est d’environ 20,12 mètres.
Merciii Pythagore…
Cela dit, la visite des parents ne représente pas le seul highlight de la journée (ok, ok, point d’orgue, événement particulier… ce n’est pas de ma faute si on a cette année une forte délégation anglophone…) puisque nous avons eu la chance à nouveau d’avoir plusieurs joueuses de la Première équipe qui sont venues nous rendre visite.
C’est ainsi qu’on a fait la connaissance de Famke, la nouvelle ailière néerlandaise, Sharli, ailière également, originaire de Porto-Rico, et de Magda, notre passeuse – que nous connaissons tous déjà bien puisqu’elle a été promue de la 2e équipe en première cette saison, et ce n’est que mérité. Nous aurons grâce à l’intervention de notre Headcoach Andi Vollmer ainsi eu l’occasion de voir passer toute l’équipe de LNA au camp !
La journée du jeudi est aussi la première où l’on commence à re-jouer, après avoir repris l’un après l’autre les différents gestes techniques. Et qu’on constate que bon, maîtriser un geste à froid dans l’exercice, c’est souvent plus facile que dans un match où le stress et la tension, la pression des autres, du résultat, change la donne. Mais ça fait aussi partie de l’apprentissage !
En fin de journée, les exercices terminés, la plupart des jeunes sont restés et ont accueilli leurs parents, qui pouvaient à loisir les défier sur le terrain. Cela a donné des empoignades intéressantes. Certaines avaient des frères ou petits amis qui pratiquent le volley aussi… ce qui nous a valu de chauds échanges.
Et l’occasion de faire une photo de groupe avec tous les parents qui nous ont fait le plaisir de participer aussi, avant la vrai photo de de main.
Après cela, grillades et salades et tiramisu… pour passer une bonne soirée. On se retrouve demain pour de nouvelles aventures et la clotûre du camp.
Pendant ce temps, à Hauteville… le groupe des plus âgées continue de travailler. Dans ce camp, il y a plus de condition physique et de travail sur la stratégie, puisqu’elle commence à devenir un point très important si l’on veut faire des résultats.
Les jeunes bénéficient de la chance d’y retrouver plusieurs encadrants qui possèdent une expérience avérée dans des ligues nationales et professionnelles, on espère que cela leur aura été bénéfique.
Il paraît qu’il fait chaud à Hauteville, dans la salle… on n’en doute pas, c’était le cas les années précédentes…
Demain – valises ! Et départ pour Genève en 2e partie d’après-midi. Avec plein de souvenirs et de nouvelles compétences.
Et au fait – il est comment, le camp, Kwaish ?